Dernières infos..2020
Tous les gestes barrières ont été instruits dans le village, grâce a une OMG qui nous a aidé pour le gel, et pour acheminer la nourriture et les bâches. Merci Merci pour eux.
L'année 2020, a été pour tous une année où la générosité a parlé.
Notre association est fière d'avoir pu cette année, encore, aider ce village, et grâce à vos dons voir que tous les habitants ont pu rester chez eux, malgré les 2 cyclones, et à l'abri.
Nous aurions voulu faire + en 2020, par les ventes d'aquarelles, de peintures, et autres mais la pandémie a déjoué notre aide.
Nous avons pu acheter :
> des bâches,
> de la nourriture,
> des tissus pour que les femmes puissent faire des bourses et les vendre,
> un nouvel instrument au mari de KUTTIMA (1ère femme a avoir créé sa micro-entreprise pour faire des bourses) pour qu'il puisse jouer et rapporter un peu d'argent
Avec vous, nous serons + fort et en cette période difficile, votre geste sera le bienvenu et espérons qu'il se pérennisera au fil du temps.
pour nous écrire :
lesroutesdupartage@gmail.com
vous trouverez dans une icone le bulletin d'adhésion 2021
Merci d'en parler à ceux qui vous sont chers et qui comme vous souhaitent faire un don.
Nous vous remercions chaleureusement de votre participation
les membres du bureau des ROUTES DU PARTAGE
Evelyne YVEN-HARDY
Trésorière
L’épidémie de Covid-19 s’est répandue sur la planète comme une trainée de poudre, contraignant les gouvernements du monde entier, à tour de rôle, à décréter des mesures de confinement de la population afin de contenir au maximum la propagation du virus, responsable d’une maladie qui sème la panique et fragilise encore plus les démunis.
De véritables scènes d'exode
En Inde, depuis l'entrée en vigueur de la décision prise par le Premier ministre Narendra Modi de placer le pays entier en confinement pendant 21 jours, à compter du 25 mars 2020, de véritables scènes d'exode, impliquant des dizaines de milliers de travailleurs migrants, se sont multipliées, notamment à New Delhi. Des files interminables composées d’ouvriers journaliers, chargés de quelques baluchons, chaussés de sandales, ou parfois portant juste leurs enfants dans les bras, se sont étirées près des stations de cars. Les autorités ont convoyé à la périphérie de la capitale indienne une flotte de bus dans lesquels les migrants se sont entassés afin d’être reconduits dans leurs villages d’origine, mais beaucoup d’entre eux se sont aussi lancés sur les routes à pieds, souvent sans eau ni nourriture.
Un risque de contamination accru
Des scénarios semblables se sont produits dans d’autres pays d’Asie, au Népal, au Sri Lanka, et sur le continent africain, où la crainte de la contagion a jeté les habitants des grandes villes sur les chemins, direction les villages, dans un même réflexe de protection. En Afrique du Sud, la fuite de la capitale Johannesburg par les taxis collectifs et les bus comme ailleurs sur le continent, ne peut qu’alarmer terriblement les autorités face au risque multiplié de contamination.
SOURCE:https://www.sciencesetavenir.fr/sante/l-exode-des-populations-en-asie-et-en-afrique-face-a-la-menace-du-covid-19_143014
Depuis Janvier 2020 au 10 avril 2020, Les Routes du Partage a acheté et fait livrer pour 22200 ROUPIES soit 260 €
Il faut savoir qu'en ce moment et avec la pandémie du COVID-19, personne ne peut faire le ravitaillement en eau potable ni même donner de la nourriture aux habitants. Virginie a pu contacter 2 personnes d'une ONG Feathers of Umanity qui ont un laisser passer et qui ont accepter de livrer le village en nourriture. Un grand merci à ces 2 personnes pour leur aide.
En avril 2019, Les Routes Du Partage ont pu acheter :
> une citerne de 2000 Litres,
> des brisques, du ciment, du sable, de la plomberie afin de faire un socle solide et pour cimenter la citerne.
> une deuxième citerne est arrivée fin 2019
tous les 15 jours nous achetons et faisons livrer de l'eau potable au village d'ANUMANDAI pour ces habitants.
En 2019, et grâce à vos dons nous avons pu alimenter ce village en eau potable pour 2000 €
Cette eau précieuse est pour eux, un espoir venu du monde extérieur : une main tendue que nous voulons qu'elle soit encore et encore là, chaque année plus forte d'une année sur l'autre. et tout cela grâce à vos dons par le biais du bulletin d'adhésion.
ce matin, une bonne et une très mauvaise nouvelle d'Inde ...
La bonne, Virginie a mis au point un nouveau modèle de pochette que les femmes du village peuvent confectionner afin de diversifier leur production et essayer de mieux vendre. Cela permettra à Angela (jeune femme du village ici en photo) de subvenir aux besoins de ces enfants... le projet avance bien!
La mauvaise est catastrophique:
Lors de la visite de l’association dans le village en mars, nous constations que les habitations étaient très vétustes et faites de branches de palmiers, de cocotiers ..breff rien de solide. Nous pensions alors investir dans quelques toits plus résistants et ainsi permettre une meilleure étanchéité..
Le maire du territoire où est situé le village a appris que nous aidions au développement de celui ci qui est en réalité clandestin puisque ces familles n’ont nul part où aller.. ils ont moins de 7 jours pour libérer les lieux ou alors..nous ne savons pas comment cela va se passer mais il y a danger imminent pour ces familles..cette fois nous sommes impuissants face à la situation. Nous essayons d’avoir des nouvelles jours après jours et referons un message sous peu..
Ils sont arrivés!!!!
Ils sont arrivés !
10 fours à bois sont aujourd’hui utilisés dans le village que nous aidons avec le projet Colibris des « Routes du Partage » !
Grâce à la volonté et l’énergie déployée par Virginie sur place, ces familles peuvent aujourd’hui faire bouillir l’eau et cuir les aliments de manière plus saine et plus sûr.... 300€ pour 10 fours, merci à nos généreux donateurs !
Voici quelques images qui illustrent cette nouvelle magnifique.
Projet Colibris:
C’est au sud est de l’Inde à quelques kilomètres de
Pondicherry que les micro-crédits peuvent permettre
d’aider des femmes et leurs enfants en les aidant à devenir autonome grâce à une petite entreprise qui leur sera propre. Elles pourront créer divers produits qui généreront des fonds dont elles ont besoin pour se nourrir, élever leurs enfants décemment.
Nous ne souhaitons pas assister ces femmes mais les aider à devenir autonome.
Kuttima:
Kuttima, 25 ans et un de ses 5 enfants. Elle vend des petites pochettes en tissu devant la boulangerie du village. Cela fait maintenant plusieurs années qu'elle se déplace en bus tous les jours avec ses enfants dans l'espoir de vendre suffisament de ses créations pour nourrir sa famille. Son rêve est que ses enfants aient toujours un toit, de quoi se vêtir, se nourrir et qu’ils puissent aller à l’école.
En Inde:
A travers un accompagnement et
un système de micro crédit:
Achat de matière première pour la confection de produits (pochettes en tissu/ sacs/ …) Achat de matériels de coutures (machines à coudre mécaniques / aiguilles / …) Ouverture d’un compte en banque pour chacune de ces femmes afin de leur assurer une autonomie financière et leur permettre de mieux gérer leur argent. Financer l'apport d'eau jusqu'au village (Réservoirs)Financer des fours à bois pour cuisiner
Ainsi, Virginie est pilote de ce projet depuis l’Inde avec le souhait de réaliser le rêve de ces femmes: Que leurs enfants aient toujours un toit, de quoi se vêtir, se nourrir et qu’ils puissent aller à l’école.
Depuis la France:
A travers les métiers d'art:
L’objectif étant que les ouvrages réalisés avec les intervenantes soient exposés afin de diffuser nos objectifs en Inde et ainsi recueillir des dons voir générer des ventes. Il est nécessaire de prendre le temps de réaliser des pièces de grandes qualités, alliant passion, patience, maitrise et savoir faire. Les intervenantes n’étant pas toutes des professionnelles et doutant même parfois de leurs compétences artistiques, il semble que plusieurs mois soient nécessaires aux différentes phases de conceptions d’ouvrages avant d’arriver à des produits finis.
Ainsi, des dates d’expositions seront fixés pour la fin d’année 2018 et courant 2019 afin de mettre une limite raisonnable.
Galerie d'images:
